Au cours de la dernière semaine du mois de Ramadan, la température monte jusqu’à parfois 46°C à N’Djaména. L’électricité quasiment inexistante dans la grande partie de la capitale fait grimper le prix de la glace de façon exponentielle.
Lundi 8 avril 2024, une descente à Goudji derrière le mur de l’aéroport, l’on voit des femmes vendre une boule de glace à 500 FCFA autrefois vendue à 100 FCFA.
Selon quelques consommateurs interrogés sur place, cette augmentation est dûe au manque d’électricité. «C’est l’électricité qui fait défaut. Sinon, on n’allait pas acheter de la glace à un tel montant. Il faut au moins 6 à 7 boules de glace pour boire en famille», se lamente Oumar Idriss.
Brahim Babakar